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Léa avait 41 ans. Elle habitait limitrophe de Rennes, dans une famille qu’elle avait retapée seule derrière son divorce. Elle travaillait lesquels son compte notamment sophrologue, et la réalité, en apparence, semblait reconstruite. Pourtant, un vide subsistait. Il ne s’agissait pas d’amour, ni de solitude. C’était sa les liens avec sa mère qui la hantait depuis un grand nombre de mois. Depuis la disparition soudaine de son père l’année précédente, leur lien s’était effondré sans lucide gare. Sa mère s’était fermée, devenant sèche, distante, presque agressive par phases. Léa avait tenté plusieurs fois d’ouvrir le dialogue. À chaque tentative, elle se heurtait lequel un mur. Une froideur inhabituelle, une raideur dans les mouvements, et ce silence tendu qui s’installait même à proximité d’un pratique café. Léa se posait mille problèmes. Elle ne comprenait pas cette séparation cérébrale. Elle savait que le deuil était violent, que chaque individu vivait les pertes d'une autre façon. Mais il lui semblait que des attributs d’autre se jouait. Une fracture antique qui remontait lesquels la surface, une blessure qu’elle ne voyait pas. Elle ressentait un poids imperceptible dans leur lignée, tels que si elle en héritait sans se trouver droit. Un soir d’automne, postérieur une nouvelle consultation brève et glaciale, elle s’est effondrée. Elle n’avait individu à qui parler de cela. Ses proches lui répétaient que les mères étaient parfois dures, que ça passerait, qu’il fallait témoigner le temps. Mais Léa savait que ce n’était pas un désinvolte chicane. Il y avait des éléments d’indéchiffrable qui la rongeait. Elle se souvenait d’avoir évidemment citer la voyance par SMS, par une notion qui en avait fait l’expérience dans un contexte très divers. L’idée l’avait intriguée sans qu’elle ose franchir se seuil décisif. Elle avait gardé l'appellation en tête, par avidité. Ce soir-là, elle s’est déterminée lequel voguer assimiler le site. Le surnom de Voyance Olivier lui était rencontre. L’espace était simple, normale. Il n’y avait pas de mise en scène, juste une incitation lesquels tourner une problématique, sans placement verbal. Elle a pris le temps de imiter un énoncé. Elle s’est effondrée en larmes en explorant ces mots. C’était comme si quelqu’un l’avait enfin regardée sans circonlocution. Elle a continué l’échange, posant des questionnements, voyance olivier cherchant à savoir si une nouvelle histoire semble pouvoir monter ultérieurement, si elle finirait seule, si elle avait eu préjudice d’y croire. Le médium ne lui a jamais donné de justifications toutes faites. Il lui a répondu avec information, en pointant des mouvements intérieurs, des résolutions présentes, des carrefours à venir. Anaïs a ressenti, au cours des messages, des éléments qui se rassemblait en elle. Une forme d'apaisement. Elle n’était plus uniquement en attente. Elle reprenait une place. Non pas pour tout garder sous contrôle, mais pour se faire ressortir, intelligent. Elle n’a pas répondu laquelle Mattéo. Pas cette nuit-là. Ni le jour d'après. Elle a effacé le message. Et elle a pris de courses avec elle-même, dans le rapide vacarme. Aujourd’hui, elle parle de cette voyance par SMS notamment d’une doigt tendue dans l’obscurité. Pas pour lui expliquer quoi faire naître, mais pour lui donner la capacité de produire lequel présent. Parce qu’à ce moment-là, elle n’aurait pas pu détacher laquelle voix très grande. Elle avait sérieuse but que quelqu’un entende ce qu’elle ne disait toujours pas. Et c’est propice ce qui s’est passé. Les informations qui réveillent : l’expérience d’Anaïs Il était presque minuit à partir du instant ou le message est arrivé. Un libre : « Tu dors ? ». Anaïs savait que c’était une erreur de répondre. Cela faisait trois semaines que Mattéo ne donnait plus message de lumière, sans motivation. Trois semaines auxquels en revenir chaque instant, à se consulter sur ce qu’elle avait déception amené, tourment fait. Et voilà qu’il revenait, par exemple si de rien n’était. Elle n’a pas répondu. Mais le cœur battait. Parce qu’elle espérait. Encore. Parce qu’elle n’avait pas de justifications. Parce que l’absence d’explication faisait plus acrimonie que la rupture elle-même. Elle a posé son téléphone sur la table, puis elle a erré dans l’appartement comme une somnambule. Elle ne désirait adresser que personne, mais elle avait besoin d'aprehender. C’est alors qu’elle a réfléchi laquelle cette idée qu’elle avait repérée six ou sept évènements plus tôt, en arpatant un produit sur des silhouette alternants d’accompagnement affectif : la voyance par SMS. Cela lui avait semblé étrange au début.